Découverte du plus ancien Homme moderne asiatique

Frontal de Tam Pa Ling
© F. Demeter / MNHN

Une équipe de recherche internationale (1), co-dirigée par Fabrice Demeter, chercheur Muséum national d'Histoire naturelle (2), Anne-Marie Bacon, chercheur CNRS (3), et Laura Shackelford de l'Université Saint Louis aux Etats-Unis, a mis au jour le crâne du plus ancien Homme moderne asiatique connu (YH : à ce jour). Publiée la semaine du 20 août 2012 dans la revue PNAS, cette découverte confirme l'ancienneté de la présence de l'Homme moderne en Asie au-delà de 50 000 ans. Le fossile original sera présenté à Paris fin septembre lors d'une conférence de presse au Muséum national d'Histoire naturelle.

Des incertitudes entourent le moment de l'émergence et de l'implantation de l'Homme moderne en Asie du Sud-Est. Les données génétiques et archéologiques indiquent une migration rapide de l'Afrique en direction de l'Asie du sud vers 60 000 ans BP (4). L'Asie du Sud-Est est remarquable par son absence de preuves fossiles concernant les premières implantations de l'Homme moderne.

Le crâne a été découvert en décembre 2009 sur le site de Tam Pa Ling, dans le nord-est du Laos, dans un contexte stratigraphique bien défini par Philippe Duringer (géologue à l'Université de Strasbourg), et solidement daté. La datation des sédiments par radiocarbone, et par luminescence réalisées par Kira Westaway (Université de Macquarie, Sydney), est en faveur d'une datation minimum de 46 000 à 51 000 ans BP, alors que la datation directe par Uranium/Thorium des os indique un âge autour de 63 000 ans.

Le crâne présente une morphologie déjà tout à fait moderne dans ses caractères frontaux, occipitaux et maxillaires. Il se différencie des humains archaïques de l'ouest de l'Asie dans ses caractéristiques temporales et occipitales et au niveau de la morphologie dentaire.

Reconstitution 3D du crâne de Tam Pa Ling
© F. Demeter / MNHN

Le crâne de Tam Pa Ling serait ainsi le témoin d'une population résolument moderne qui s'est déployée dans le Sud de l'Asie vers environ 60 000 ans BP. Contrairement au scénario admis jusqu'à présent qui voudrait que les Hommes modernes sortis d'Afrique aient longé les côtes jusqu'en Asie du sud-est, le fossile de Tam Pa Ling suggère que d'autres voies migratoires au travers de régions difficiles d'accès, telle que la Chaine Annamitique, auraient aussi été empruntées. Ainsi, des Hommes aux caractères modernes auraient quitté l'Afrique il y a plus de 60 000 ans, en accord avec les données de la paléo-génétique. L'Homme de Tam Pa Ling d'anatomie résolument moderne découvert dans la partie continentale du Sud-Est asiatique est, par son ancienneté, un des ancêtres possibles des premiers australiens. 

Notes:

(1) Fabrice Demeter Department Hommes Natures Sociétés (HNS), National Museum of Natural History, Unité Mixte de Recherche (UMR) 7206/, 75005 Paris France; Formation de Recherche en Evolution (FRE) 2960 Anthropobiology Laboratory, Université Paul-Sabatier (UPS) Toulouse 3, 31000 Toulouse France
Laura L. Shackelford Department of Anthropology, University of Illinois at Urbana–Champaign, Urbana, IL 61801
Anne-Marie Bacon Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) Unité Propre de Recherche (UPR) 2147, 75014 Paris France
Philippe Duringer Institut de Géologie, Université de Strasbourg (UNISTRA), Ecole et Observatoire des Sciences de la Terre (EOST), Institut de Physique du Globe de Strasbourg (IPGS), Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) Unité mixte de Recherche (UMR) 7516, 67084 Strasbourg Cedex, France;
Kira Westaway Department of Environment and Geography, Macquarie University, NSW 2109, Sydney Australia
Thongsa Sayavongkhamdy Department of National Heritage, Ministry of Information and Culture, Vientiane Lao People's Democratic Republic
José Braga Formation de Recherche en Evolution (FRE) 2960 Anthropobiology Laboratory, Université Paul-Sabatier (UPS) Toulouse 3, 31000 Toulouse France
Phonephanh Sichanthongtip Department of National Heritage, Ministry of Information and Culture, Vientiane Lao People's Democratic Republic
Phimmasaeng Khamdalavong Department of National Heritage, Ministry of Information and Culture, Vientiane Lao People's Democratic Republic
Jean-Luc Ponche LMSPC, UMR 7515 CNRS/Université de Strasbourg, F-67084 Strasbourg Cedex France
Hong Wang , iIllinois State Geological Survey, Prairie Research Institute, University of Illinois at Urbana–Champaign, Urbana, IL 61801
Craig Lundstrom Department of Geology, University of Illinois at Urbana–Champaign, Urbana, IL 61801
Elise Patole-Edoumba DCP, C2RMF, 75001 Paris
Anne-Marie Karpoff Institut de Géologie, UDS, EOST, IPGS, CNRS/UDS UMR 7516, 67084 Strasbourg Cedex France

(2) Travaillant à l'unité "Eco-anthropologie et ethnobiologie" (CNRS/MNHN)

(3) Travaillant au laboratoire CNRS "Dynamique de l'évolution humaine: individus, populations, espèces" et porteur du projet auprès du Ministère des Affaires Etrangères depuis 2007.

(4) Before Present: L'expression "avant le présent" (en anglais, Before Present: BP) est utilisée en archéologie pour désigner les âges exprimés en nombre d'années comptées vers le passé à partir de l'année 1950 du calendrier grégorien. Cette date a été fixée arbitrairement comme année de référence et correspond aux premiers essais de datation au carbone 14.

Référence: Anatomically modern human in Southeast Asia (Laos) by 46 ka, PNAS, 20 août 2012. via http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=10825

SFH 09-2012

Les orages seraient attirés par les zones sèches

Dix années de données satellite viennent de parler. Les orages se déclencheraient plus facilement en journée au-dessus de surfaces sèches entourées de zones humides. Cette découverte est importante car les modèles climatiques utilisés par le Giec ne tenaient pas correctement compte de ce phénomène, faussant ainsi les scénarios d'évolution des sécheresses.

L'humidité du sol influence les propriétés des basses couches de l'atmosphère à partir desquelles se forment les nuages. Mais son rôle dans le déclenchement des orages en journée est mal connu. Une équipe européenne associant en France le Centre national de recherches météorologiques (CNRM-GAME, CNRS/Météo-France) vient d'établir un lien entre les variations d'humidité du sol sur une région et la genèse des orages qui la frappent. Les chercheurs ont procédé à une analyse très poussée des mesures de précipitations et d'humidité du sol effectuées sur l'ensemble du globe par les satellites pendant 10 ans. Cette étude vient d'être décrite dans la revue Nature.

Pour chaque zone de 150 km de côté étudiée, les scientifiques ont d'abord recherché dans leurs jeux de données à haute résolution spatiale et temporelle (quelques dizaines de kilomètres et quelques heures), les dates et les régions où étaient survenus des orages. Puis ils ont relevé à ces mêmes endroits l'humidité du sol dans les heures précédant le début des perturbations, afin de comparer ces valeurs à celles mesurées, au même moment, quelques dizaines de kilomètres plus loin.

Cette photographie montrant un déclenchement d'orage a été prise à Hombori au Mali durant la saison des moussons. © Françoise Guichard et Laurent Kergoat/CNRS

Orages : une tendance marquée au Sahel et en Australie

Grâce à un traitement statistique permettant de s'affranchir des caractéristiques propres au climat local, ils ont observé que sur les continents, les orages se développent en journée plus fréquemment au-dessus des surfaces sèches entourées de zones humides. Sur les sols semi-arides du Sahel ou de l'Australie, cette tendance est particulièrement marquée.

Par ailleurs, les chercheurs ont testé plusieurs modèles climatiques utilisés par le Giec à l'échelle du globe. Ils ont alors découvert que les simulations réalisées ne sont pas capables de reproduire le phénomène observé à l'aide des satellites. Un défaut susceptible d'entacher d'erreurs les scénarios d'évolution des sécheresses obtenus grâce à ces modèles. Afin de mieux comprendre les évolutions climatiques à l'échelle régionale sur les continents, il paraît donc important d'améliorer la prise en compte de ce phénomène dans les modèles.

SFH 09-2012

UN CAFÉ UFOLOGIQUE TRÈS INTÉRESSANT LE 6 SEPTEMBRE 2012 A BUÉNOS AIRES

Quelques mots en Français tout d'abord.

Le Compte-Rendu de Mario Lupo et de Ruben Morales mériterait une traduction en totalité, c'est pourquoi, lorsque vous constatez que le texte peut vous intéresser, en français, anglais, allemand.... faites le traduire par un traducteur automatique, sur Google par exemple.

Forte pluie sur Buénos Aires, mais ceci n'a pas empêché la venue de nombreux participants dont d'éminentes personnalités.

Présence pour la première fois d'Horacio Caldarelli qui est un pilote civil avec un important nombre d'heure de vol à son actif. Il a également travaillé comme télégraphiste et météorologue. Il nous a rapporté d'importantes observations d'ovni, au cours de vols. Mais il souligne que de nombreux pilotes professionnels préfèrent ne pas déclarer leurs observations, en effet ce type de rapport pourrait affecter négativement les rapports périodiques les concernant et les évaluations psychologiques auxquels ils doivent se soumettre. Gerardo Lopez, lui aussi venu pour la première fois, a relaté deux observations personnelles de disques volants, très plats. Paul Vainsten qui est avocat a fait part des études "médicales" et sur les phénomènes psychiques qua menée durant des années le Dr Andres Salvador, qui est actuellement le coordinateur des café ufologiques de Corrientes. Ruben Romano a quant à lui fait part de la nostalgie qu'il éprouve pour les congrès de la FAECE dans les années 70 - 90, qui ont permis une excellente information et de découvrir aussi les thèses psycho sociales relatives à ce phénomène. Il a parlé de ses recherches, des observations, faites à Victoria, Entre Rios ou une commission civilo militaire avait intégré le Centre pour la Recherche Spatiales et de la Technologie des Forces Armées. Bien évidemment cette commission, dissoute, n'avait aucun lien avec la Force Aérienne CEFAE actuelle, c'était un groupe de travail qui l'a précédée dans les années 1990, dirigé par le Commandant Juan Carlos Mascietti.

Parmi les personnalités présentes, notons la venue de Roberto Martinez, créateur en 1963 de l'Institut de technologie spatiale civile (TICE), rédacteur en chef de la revue populaire " 2001, le journalisme avant" qui se vendait alors à plus de 80 000 exemplaires chaque mois. A partir de la revue, il a formé un club et initié plus de 200 jeunes à la construction de fusées miniatures. En février 1970 ils ont lancé une fusée avec un singe qui s'est élevé à plus de 20 000 m , marquant ainsi le record Sud-Américain de lancement de fusée civile. Il nous a appris que le Président Arturo Illia (1963 - 1966) était intéressé par les ovnis et avait mis à la disposition des chercheurs l'avion présidentiel et son pilote pour d'éventuels études de cas.

Le sujet du "déclassement" des archives officielles a été abordé et le Pr Ruben Morales a déclaré pour lui, ce déclassement ne pouvait pas se faire sans le concours de civils, de spécialistes du dossier ovni afin de faire le rapprochement entre les archives officielles et les archives privées, qui chacune contiennent des informations différentes, quelquefois incomplètes. Ruben Morales a signalé le fait qu'il avait obtenu du tribunal d'être réintégré à son poste à l'Université, d'ou il avait été arbitrairement et anormalement écarté. Long applaudissements la part du public. .................

Même si l'information est déjà connue dans le milieu OVNI, RIO54 vous invitent, le 17 septembre à 21 h. (Argentine) à voir sur History Channel le début d'un cycle d'émissions sur les ovnis appelés "contact extraterrestre" , réalisé et avec la présence de plusieurs participants de notre groupe RIO54 : Adolfo Ocampo Gandin, Morales Nelson, et Rubén Morales, Nicala Adrian.

................ (extrait)

DE LOS ESTUDIOS OFICIALES A LAS DESCLASIFICACIONES CIVILES

NOTRE PHOTO ( DE GROUPE):
Gerardo López, Pablo Vainstein, Eduardo Sidotti, Alberto Portalet, Javier Stagnaro, Roberto Martínez, Roberto Banchs, Rubén Morales, Mario Lupo, Malén Vázquez, Luis A. Panigazzi, Daniel Postizzi, Ana Serrano, Claudio Mundo, Alex Gómez, Edgardo Stekar y Pablo Warmkraut.
Además estuvieron: Andrea Pérez Simondini, Miguel Caldarelli, Rubén Romano, Horacio Sorbaro, Iván Orenstein, Alejandro De La Barra, Luis A. Baynham (y esperamos no habernos olvidado de nadie!).

El Café Ufológico RIO54 de septiembre nuevamente coincidió con un día de lluvias intensas en Buenos Aires, lo que no impidió que llegara una nutrida concurrencia, además con destacadas personalidades del ámbito ufológico.

Vinieron por primera vez Horacio Caldarelli, Rubén Romano, Gerardo López, Pablo Vainstein y Roberto Martínez. Caldarelli es un piloto civil con muchas horas de vuelo, que ha trabajado también como telegrafista y meteorólogo, y relató interesantes observaciones aéreas de ovnis sobre las que tuvo directo conocimiento. Subrayó que muchos pilotos de líneas comerciales prefieren no informar sus avistajes por miedo a que esos informes afecten de manera negativa las evaluaciones psicológicas periódicas a que deben someterse. Destacó además que quienes sentimos interés por los ovnis también solemos tenerlo sobre otros temas paranormales, lo que fue comentado con distintos enfoques por Ana Serrano y el Dr. Roberto Banchs.

Gerardo López –otro de los que llegó por primera vez a la mesa de RIO54- refirió dos observaciones personales de láminas voladoras que integrarían lo que algunos denominan fenómenos variables. Manifestó su interés por las interpretaciones de textos religiosos como el relato bíblico del Libro de Ezequiel. Pablo Vainsten (abogado) expresó haber realizado estudios sobre ovnis y fenómenos parapsicológicos have años junto al actual coordinador del Café Ufológico de Corrientes, Dr. Andrés Salvador.

Rubén Romano recordó con nostalgia los congresos de la Federación FAECE realizados entre los años ‘70 y ’90, y añadió que el tema de los ovnis lleva a la apertura del conocimiento a muchos tópicos diferentes y a él en particular lo condujo a estudiar psicología social. Se refirió además a sus investigaciones realizadas en Victoria, Entre Ríos, cuando integraba una comisión cívico-militar de estudios ovni que dependía del CITEFA (Centro de Investigaciones Tecnológicas y Espaciales de las Fuerzas Armadas). Cabe aclarar que esa comisión, ya disuelta, no tuvo relación alguna con la actual CEFAE de la Fuerza Aérea, sino que era un grupo de trabajo que la antecedió en la década de 1990, al mando del Comodoro (RE) Juan Carlos Mascietti.

Pero de los recién llegados a RIO54 sin duda resaltó la presencia del Lic. Roberto Martínez, creador en 1963 del Instituto Civil de Tecnología Espacial (ICTE), así como fue redactor de la emblemática revista “2001, periodismo de anticipación” (1968) que vendía por entonces ¡80.000 ejemplares mensuales!. Mencionó a su secretario de redacción, Alejandro Vignati, un verdadero trasgresor al modelo de la época. Desde esa revista, Martínez condujo su “Club 2001 - Cadetes del Espacio” que reclutó unos 200 jóvenes interesados en realizar proyectos de cohetería modelo. Hubo más de cien lanzamientos, pero la mayor hazaña fue, en febrero de 1970, lanzar un cohete con una mona en su ojiva que superó los 20.000 m. de altura, marcando el récord sudamericano en materia de cohetería civil.

Martínez desgranó un colorido repertorio de anécdotas vividas en relación con periodistas, políticos y militares interesados en los ovnis, en aquellos tiempos en que todavía no se usaba la palabra “ufología”. Recordó sus charlas, en los años ’60, con el suboficial Roalde Moyano, integrante de la primera comisión ovni de la Fuerza Aérea. Agregó que el presidente Arturo Illia (período 1963-1966) se interesaba en los ovnis, al punto de poner a disposición de los investigadores el avión presidencial y a su piloto personal para estudiar un caso. Recordó también el “idioma varkulets” creado por el contactado polaco Eustaquio Zagorski y luego se explayó, ya con el manto de comprensión que dan tantos años transcurridos, sobre el caso insignia de la aeronáutica argentina, la foto del capitán Hugo Francisco Luis Niotti, tomada en Yacanto, Córdoba en 1960: Relató que Niotti había fotografiado la caída de un globo meteorológico (se lanzaban muchos en ese tiempo) y quiso gastarle una broma a un suboficial diciéndole que había logrado fotografiar un ovni. En ese instante entró un oficial de alto rango que de inmediato se interesó por la foto y Niotti debió sostener la explicación del ovni para evitar que su superior lo sancione. A partir de entonces, Niotti defendió de por vida la autenticidad de la toma y la propia Fuerza Aérea la refrendó en un comunicado.

Otro asunto relacionado con investigaciones oficiales, pero más recientes, fue planteado por Pablo Warmkraut al recordar que faltan días para cumplirse un año de la explosión en Monte Grande, aquel extraño incidente que causó la lamentable muerte de una mujer.

Surgió un intenso debate, encendido por Postizzi, Pérez Simondini y Warmkraut. Por consenso se descartó la simplista explicación del estallido de un horno para pizzas. En cambio se argumentaron como hipótesis (además de la del ovni) el impacto de un misil antiaéreo Roland o de un cohete de investigación espacial. En cualquiera de estos dos casos, el proyectil habría sido lanzado desde territorio argentino y su caída en ese lugar habría sido producto de un fatal error. Fue interesante el cruce de numerosos datos recabados por los investigadores en respaldo de sus respectivas hipótesis. Andrea relató que como asesora externa de la CEFAE (la actual comisión ovni de la Fuerza Aérea), en el día del siniestro se desempeñó como nexo entre la comisión y las autoridades municipales del lugar. Luego se refirió a su trabajo en CEFORA -entidad ufológica que promueve la desclasificación de archivos ovni- y habló de sus gestiones personales en Gendarmería Nacional con igual motivo, luego de lograr liberar al público documentos sobre un caso sucedido en Campo de Mayo en 1972, gracias a que uno de los testigos había conservado una copia de una serie de respuestas que parecían contestar a un formulario previo. Al recibir ese listado de respuestas, Andrea se comunicó con Roberto Banchs quien poseía un ejemplar del cuestionario modelo usado por Gendarmería. Y las preguntas del cuestionario en poder de Roberto se correspondían perfectamente con las respuestas del informe conseguido por Andrea…

Este simple ejemplo ilustra que cuando se habla de “desclasificación” debe entenderse en términos amplios, superadores a la mera exigencia al gobierno de liberar expedientes. Rubén Morales reflexionó que una verdadera desclasificación no puede hacerse sin la participación de estudiosos civiles idóneos, que –como en este caso- permitan establecer relaciones entre los expedientes oficiales y los archivos privados, lo que redundaría también en un proceso de validación oficial de informes y referencias albergados en archivos civiles. Seguramente –una vez más- la iniciativa privada deberá dar el primer paso en esta dirección.

En otro órden, Morales informó que ya está nuevamente reincorporado como docente en las aulas de la Universidad del Salvador, luego que la misma recibió la órden judicial de reinstalar a los tres profesores que fueron despedidos luego de afiliarse al gremio respectivo, have más de un año. Aún no les han devuelto las cátedras, en tanto el proceso judicial continúa. Morales agradeció a los presentes (hubo un efusivo aplauso) y agradece a toda la comunidad ufológica por el estimulante apoyo recibido para poder dar este importante paso.

Sobre el final del encuentro se sortearon gratuitamente libros de Roberto Banchs donados por su autor, una revista “La Nave de los locos” (¡agradecemos su envío desde Santiago de Chile a Diego Zúñiga!), un DVD con videos de Raúl Socolowski, boletines aportados por Javier Stagnaro, varios ejemplares de la nueva revista “Ciencia, tecnología y misterio” editada por Osvaldo Daniel Billordo, y un curso en CDs “Métodos de Estudio y Concentración” donado por Mario Lupo.

Aunque ya es de público conocimiento en el mundillo ufológico, invitamos el día 17 de septiembre a las 21 hs. (Arg.) a ver por por History Channel el inicio de un ciclo de programas sobre ovnis llamado “Contacto extraterrestre” con entrevistados latinoamericanos, entre ellos varios participantes de RIO54, como Adolfo Gandín Ocampo, Nelson Morales, Adrián Nicala y Rubén Morales.

Deseamos agradecer también al programa Visión Ovni Radio y a su conductora la estimada Silvia Pérez Simondini, que el día 8 de septiembre le realizó una extensa entrevista telefónica a Mario Lupo, co-coordinador del Café Ufológico RIO54.

Gracias a todos y a todas, y hasta el próximo Café Ufológico RIO54 del jueves 4 de octubre, a la s 18,30, como siempre en el Café de la Subasta, Río de Janeiro 54, Ciudad de Buenos Aires..

Mario Lupo/Rubén Morales

(c) G.L. mise en page, résumé), Mario Lupo et le Pr Ruben Morales - http://www.les-repas-ufologiques.com

Relayé par Yves Herbo SFH 09-2012

OUVERTURE D'UN CAFÉ UFOLOGIQUE DANS LA VILLE DE SANTA FE EN ARGENTINE

Mario Lupo et Ruben Morales nous font part de la création d'un nouveau Café Ufologique à Santa Fe en Argentine. Bien évidemment, ce Café sera sous la responsabilité d'une personne connaissant bien le domaine des ovnis, Oscar Raul Mendoza. Oscar Raul, c'est plus de 40 année d'intérêt pour le dossier ovni, mais aussi, les crops Circles, les Mutilation, les orbes.... tout cela est loin d'être inconnu par cette personnalité qui en Argentine est très connue.

Oscar Raul Mendoza est aussi un auteur d'ouvrages, il a écrit “Ovnis: Huellas y Tripulantes" réédité l'année passée. C'est un ouvrage de 180 pages qui comporte de nombreuses photos et qui traite des ovnis et des faits mystérieux en général. Signalons aussi qu'Oscar Raul Mendoza est un chercheur de terrain, il met en pratiques des méthodes adaptées, des techniques qu'il connaît bien et utilise des instruments de diverses disciplines scientifiques. Son temps libre est donc bien souvent consacré aux enquêtes, ufologiques, mutilations ou Crops Circles. Les enquêtes de ce chercheur sont donc nombreuses, on retrouve son nom dans bien des fichiers mondiaux, il est aussi bien connu des spécialistes au niveau des enquêtes auprès des témoins, du phénomène ovnis dans le monde.

Ce Café Ufologique sera organisé pour la première fois le Jeudi 20 septembre 2012 à partir de 18 h 00 au "Bar Falucho", San Martin 2365 (Galery Garay), dans la ville de Santa Fe ( Province de Santa Fe en Argentine).

Toutes les personnes passionnées par le dossier OVNI et l'insolite en général, qui peuvent ce rendre à ce Café Ufologique, sont invitées à y participer. Climat d'amitié, de respect et uniquement la volonté de nous réunir en un petit groupe de passionnés qui peuvent s'exprimer librement.

Comme dans les Repas Ufologiques, les Cafés Ufologiques en Argentine sont à but non lucratif, chaque participant qui se réuni à notre table, autour du verre de l'amitié, paye ses consommations. Le fait d'assister à cette réunion, n'implique pas un consensus d'idées, ni d'adhérer à une position particulière ou appartenant à un groupe d'opinion. Dans ces réunions la liberté d'expression est essentielle, le seul contrôle est donc la réponse des autres membres réunis qui vous entendrons.

Le Café Ufologique de Santa Fe est organisé à une date fixe, à un horaire stable et ce qui est donc facile à programmer dans votre agenda. Ils sont organisés une fois par mois, le deuxième jeudi du mois de 18 h 00 à 20 h 30.

La direction du Café Ufologique est assurée par Oscar Raul Mendoza avec la collaboration des chercheurs et enquêteurs dans le domaine ovni : Ariel Maderna, Luis Brussa et José Luis Fernandez.

Les Cafés Ufologiques de Buénos Aires, RIO54 tiennent à adresser leurs félicitations au collègue Oscar Raul Mendoza qui a pris cette heureuse initiative dans l'importante ville de Santa Fe. Tous les Repas Ufologiques, les Cercles Ufologiques en France et dans le monde, se joignent bien évidemment aux Cafés Ufologiques RIO54 pour assurer de leur soutien le nouveau Café Ufologique de Santa Fe.

Mario Lupo - Ruben Morales

(c) G.L. - Ruben Morales - http://www.les-repas-ufologiques.com - Adaptation et complément d'enquête : Gérard Lebat

Relayé par Yves Herbo SFH 09-2012

Les Crops Circles d'août 2012

copyright: Martin Sawyer

Un dernier très beau pour juillet 2012 à Andechs Abbey, Bayern - BAVIERE - Allemagne, le 29 Juillet 2012 :

Dès le 1er août 2012 dans le Wiltshire, UK :

Le 04 août 2012 à Sjaelland au Danemark :

copyright: Ninna Nygaard

Une compilation des crops circles apparus entre le 1er et le 5 août 2012 en Angleterre, avec des interprétations :

Le 26 août 2012 à Hackpen Hill dans le Wiltshire, UK :

Cette longue compilation de plus de 18 minutes vous montre la plupart des crop circles apparus cet été, en particulier en août 2012, avec des interprétations pour certains. La cuvée 2012 semble être très bonne à priori du côté des cercles de cultures... :

Vous pouvez avoir un bon suivi des crop circles (britanniques surtout) par mois ici, avec photos : http://www.cropcirclecenter.com/date/2012/201208.html

SFH 09-2012

Le super typhon "Sanba" menace le sud du Japon et la Corée

Sanba le 14-9-2012

Un super typhon s'est développé à l'est des Philippines. Ce typhon, prénommé "Sanba" est déjà classé jeudi 5/5 sur l'échelle de Saphir Simson. Voici ses caractériques le vendredi 14 septembre 2012 :

PRESSION minimale au centre 900 hpa (le record mondial est de 870 dans le typhon TIP en 1979 - le typhon MEGI avait atteint 885 hpa en 2010)
PRESSION minimale au centre moyenne de 275 km/h avec des rafales à plus de 330 km/h !!

Il faut se rappeler qu'on nomme "typhon", un cyclone situé dans le Sud-asiatique (zone géographique comprise entre les Philippines, Taïwan, le Japon, la Chine et la Corée) et "ouragan" un cyclone formé entre le centre de l'Atlantique, la zone Caraïbes et le sud des Etats-Unis.

On voit sur l'image satellite ci-dessous la direction et la force des vents du typhon "Sanba" (symbolisées par les flèches de couleurs différentes) qui animent ce phénomène très inquiétant pour les prochains jours puisque "Sanba" se dirige vers des îles et terres habitées.

Au plus près de l'oeil de ce "super typhon",  les vents atteindront près de 270 km/h avec une mer démontée accompagnée d'une houle de 8 à 10 mètres !

Ce typhon survient après "Bolaven", qui a violemment frappé l'île d'Okinawa (Japon) puis la Corée du Sud. Bolaven était déjà considéré comme l'un des typhons les plus puissants  jamais enregistrés dans cette zone, avec une pression en son centre qui s'est abaissée à 910 hectopascals.

Le typhon "Sanba" suit à peu près la même trajectoire que "Bolaven" et remonte plein nord. Les îles d'Okinawa seront les plus exposée à ce typhon samedi même si entre temps il aura légèrement faibli (de niveau 4/5). Par la suite, "Sanba" continuera à progresser vers le nord et la Corée du Sud sera à son tour frappée par ce typhon de niveau 3 sur 5 qui aura donc légèrement faibli.

source : http://www.meteo-paris.com/actualites/le-super-typhon-sanba-menace-le-sud-du-japon-et-la-coree-13-septembre-2012.html

PS SFH: - Le cyclone Nadine qui circulera vers les Açores ne menacera pas la France, MAIS l‘énorme masse d’air tropicale qui lui est associée continuera de perturber les modèles météo. Du coup, la fiabilité des prévisions à moyenne échéance continue d‘être sérieusement affectée (les scénarios valables à partir de jeudi évoluent sensiblement d’un jour sur l’autre…).

Relayé par SFH 09-2012