Statistiques du site depuis mi-2011

Aujourd'hui

148 visiteurs - 348 pages vues

Total

7524234 visiteurs - 17570996 pages vues

Contenu

Nombre de pages : 25
Nombre d'articles : 2518

Les Reliques Etranges du Pérou - interview Thierry Jamin 1

Cliquez sur Blog en haut pour tous les articles, Écrits pour voir mes écrits personnels, Autres Pages pour des Dossiers compilés

Dans Humour

Humour noir

Humour noir

renard-collectionneur.png

Quelques vidéos insolites, non prévues pour être drôles mais qui surprennent et font réagir de diverses façons... plutôt tragiques pour certains, d'autres y souriront ou même élateront de rire, comme le font beaucoup quand ils voient quelqu'un faire une chute tout seul... même si elle peut être grave ! Il y a aussi des comportements (attentus ou non) qui font sourire ou rire, puis réflechir, comme ce soldat qui pète un plomb quand il n'arrive pas à ouvrir une simple porte (ouverte)... 

Le téléphone portable, c'est dangereux même à pied... :

 


Comportement animalier surprenant : une jeune renarde ne s'intéresse qu'aux boules de pétanque (38 vols) et non au poulailler juste à côté ! :

Depuis plusieurs mois un renard chaparde... des boules de pétanque, dans le village de Belmont, dans le Gers, France. Une histoire qui fait le tour du Web. histoire : 

Depuis des mois, les boules de pétanque de Patrick Cazes disparaissaient mystérieusement devant sa maison de Belmont, un petit village du Gers, jusqu'à ce qu'il identifie le voleur à l'aide d'une caméra à infrarouge : un renard. « La première boule, il nous l'a prise le 29 février. Au total, en deux mois, il a quand même emporté 38 boules. J'aimerais bien savoir ce qu'il en fait », confie, interloqué, ce menuisier de 49 ans et chasseur amateur.

« Un renard intéressé par les boules, j'avais jamais vu ça. Même si elles sont rouillées, il les prend quand même. Au début, ça me faisait pas rire du tout,raconte-t-il, parce qu'il me prenait des boules de compét' toutes neuves », raconte Patrick Cazes, féru de pétanque au point de participer à toutes les compétitions du canton et de s'être construit un boulodrome personnel à une vingtaine de mètres de sa maison.

Comme un pomme

L'enregistrement nocturne qu'il a posté sur Youtube montre un renard méfiant s'approcher avec un trésor de précaution des boules, les prendre délicatement entre ses crocs et s'éloigner d'un pas léger dans l'obscurité. « Il attrape ça comme une pomme tombée du pommier », remarque le menuisier de Belmont, un village rural d'une centaine d'habitants situé près de Vic-Fezensac. D'après la vidéo, estime-t-il, c'est une « femelle assez jeune, un mâle serait plus costaud ». L'artisan s'étonne que le renard ne se soit intéressé qu'aux boules de pétanque alors qu'il a chez lui des dizaines de poules, de poulets et de canards, à quelques mètres du boulodrome. « Les poules et les canards, ça l'intéresse pas plus que ça », dit-il, amusé.

En fait, la renarde vit évidemment la nuit, mais quand elle veut dormir le jour, des idiots balancent des boules sans arrêt, font du bruit et l'empêchent de dormir... solution : voler les boules en + des oeufs (en plus les hommes sont omnubilés par leurs boules et oublient leurs oeufs...) :

la suite de l'histoire ici : http://www.francesoir.fr/actualite/insolite/

Quand un GI pète un plomb devant une porte ouverte... :

mentalitygiamerican.gif


Est-ce un ragondin, un rat disproportionné ou une femelle enceinte ? Les spécialistes restent perplexes. La créature abattue par Brian Watson à Waskerley, dans le nord-est de l'Angleterre, est pour le moins singulière. La photo postée par l'agriculteur sur Twitter montre  une créature de près d'un mètre de long. Il est difficile  de déterminer à quelle espèce appartient ce spécimen étant donné que celui-ci à été brulé, toutefois la photo semblerait aller dans le sens d'un rongeur appartenant à la famille des ragondins. Mais en principe les ragondins ont été complètement éradiqués en Grande-Bretagne... certains parlent déjà de barbecues, d'élevages et de viande de ragondin... en France on recherche activement des escargots et grenouilles géantes... :

 


Yves Herbo 05-2012

Dans OVNI/UFO

Autre crop circle le 28-04-2012 en Angleterre

Autre crop circle le 28-04-2012 en Angleterre

Yarnbury Castle, Winterbourne Stoke, Wiltshire, 28 avril 2012 :

Pour compliquer et rappeler les choses, voici une vidéo avec témoins, en VO datant de 2011 où des orbs ou des petits modules sphériques lumineux, surveillés par des hélicoptères non identifiés, semblent "usiner" certains crops circles, toujours en angleterre... :

 

Les théories de "retombées" technologiques extra-terrestres (ou non) exploitées et étudiées secrètement semblent se confirmer pour beaucoup... certains n'hésitent pas à faire le pas aussi avec les étranges mutilations d'animaux répertoriées un peu partout dans le monde... 

SFH 05-2012

Blessures préhistoriques étranges

Blessures préhistoriques étranges

reconstitution-d-un-aurochs-by-onkel-wart.jpg Reconstitution d'un aurochs. By Onkel-Wart . Licence

L’Aurochs laineux, était un animal qui durant toute l’ère glaciére occupait un vaste territoire. S’étendant des régions orientales d’Asie aux toundras Arctiques, ce bovidé était très résistant au froid. Au même titre que le mammouth, il était très présent dans la préhistoire. Depuis des temps immémoriaux, l’homme le chassait pour sa peau, ses os et sa viande. Il fut dès 10.500 ans avant JC domestiqué et représenté sur des peintures rupestres. Contrairement aux mammouths, cette espèce survécut jusqu’au XVII siècle. La dernière femelle s’éteignit en Pologne en 1627. Comme souvent cela arrive, on découvrit le squelette d’un aurochs dans une couche sédimentaire préhistorique en Sibérie orientale près du fleuve Lena. Toutes les caractéristiques de l’animal sont normales, à la différence de son crâne. Un minuscule trou de la taille d’une goutte d’eau est visible en dessous de la base des cornes sur la zone frontale.

Après examen par des spécialistes de la balistique, il semblerait que ce trou ait été fait par une armes à feu tant il est net. On pourrait imaginer que l’animal ait subi un tir avant 1627, mais les analyses sont formelles, les ossements sont vraiment issus du paléolithique. L’animal date de 8.000 ans av JC. Ce squelette était exposé au musée paléontologique de Moscou et a mystérieusement disparu en 2004 (encore un !), après que des traces de poudres aient été révélées lors d'analyses, ainsi que de la calcification autour de la blessure, preuve que l'animal avait survécu quelques années à cette agression !

broken-hill-balle-neandertal.jpg

Crâne de Broken Hill. ((c) Musée d'Histoire naturelle de Londres)

Autre cas semblable, celui du crane de Broken Hill.

En Zambie, près de Broken Hill, on découvrit en 1921 le crane d’un homme de type Néandertalien. Sur le coté gauche du crane apparaît un trou rond et lisse. Les experts en médecine légale de Berlin ont estimé que le trou était identique à la pénétration d’une balle d’arme à feu. L’étrangeté de la chose est d’autant plus frappants quand on voit qu’à l’opposé du trou les os semblent avoir été fracassés depuis l’intérieur. Cela suggère que la balle serait ressortie par cette autre ouverture.

Pourtant, le crâne a été retrouvé à 18 m de profondeur ce qui exclut que la victime soit morte au cours des derniers siècles. Ce crâne aurait été découvert dans une couche sédimentaire estimée d'au minimum 4 000 ans. (YH : il ne s'agit probablement pas d'un néandertalien dans ce cas !).

Ce crâne est bien encombrant et nul, à ce jour, n’a pu fournir d’explications satisfaisantes.

autre info récente sur les aurochs : http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/zoologie/d/toutes-nos-vaches-descendraient-de-80-aurochs_37979/

SFH 05-2012

Dans Sciences

Climat : deux rares supercellules forment une tornade vers Toulouse

Climat : deux rares supercellules forment une tornade vers Toulouse

tornade-toulouse-29-04-2012.jpg

Une tornade a été filmée et photographiée au sud-ouest de Toulouse en début de soirée du 29 avril 2012. Elle a provoqué des dégâts sur sa trajectoire (toitures envolées, arbres arrachés, véhicules déplacés notamment). Heureusement, pas de victimes à déplorer malgré la violence locale du phénomène.

 

 

Autre vidéo et localisation : http://www.infoclimat.fr/videolive-videos-meteo-978-tornade-toulousaine.html#video

La tornade s'est formée dans le prolongement direct du mésocyclone d'une supercellule, peu de temps après que cette dernière ait connu une phase de dédoublement (split). La supercellule s'est formée vers 18 heures locales au sud-ouest de Muret, en Haute-Garonne, avant de connaître un développement relativement chaotique pendant une quarantaine de minutes. Elle s'est ensuite rapidement intensifiée au cours des 20 minutes qui ont suivi, générant ainsi peu avant 19 heures locales un split à l'ouest de Muret. La cellule moteur droit issue de ce dédoublement a ensuite pris la direction de Toulouse, tout en parvenant à entrer en phase tornadique. C'est à cet instant que la tornade a pu être observée par de nombreux témoins. La supercellule a ensuite poursuivi sa route vers le Tarn avant de s'y dissiper vers 21 heures locales.

Un témoignage fait état d'un atterrissage à proximité de Fonsorbes (31) avec dissipation au moins temporaire vers le croisement de la D50 et de la D68, sans dégât observé pour l'heure.

Les supercellules sont des structures convectives originales et relativement rares, dans la mesure où elles ont pour particularité de s'organiser autour d'une colonne convective unique, durable, et en rotation. C'est précisément cette rotation qui permet aux supercellules de constituer la structure orageuse la plus propice pour les tornades, vu qu'en moyenne 1 supercellule sur 4 parvient à générer un tel tourbillon. Leur formation nécessite ordinairement une instabilité convective au moins modérée et des cisaillements de vents marqués (forte accélération des vents avec l'altitude), autant dans les basses couches qu'en profondeur. Ces conditions se sont retrouvées réunies ce dimanche après-midi sur les départements du sud-ouest, ce qui a permis à au moins deux supercellules de s'y former en quelques heures.

Photos des dégâts et infos : http://www.keraunos.org/actualite-201204-tornade-toulouse.htm

SFH 05-2012

Dans OVNI/UFO

OVNIs : Compilation de vidéos avril 2012

OVNIs : Compilation de vidéos avril 2012

best-ufo-april-2012.jpg

A peine arrivé en mai que voici déjà une compilation des "meilleures" vidéos d'OVNIs mondiaux. Certains de ces phénomènes aériens ont trouvé des explications très réalistes, tels des météores pour certains ou des fusées éclairantes militaires pour d'autres, mais, comme toujours, certains cas parmis ceux visibles dans cette compilations méritent évidemment enquêtes plus approfondies.

source : AnonymousFO

SFH 04-2012

Incursion dans un domaine trop réservé : la monnaie - Part 7

Incursion dans un domaine trop réservé : la monnaie - Part 7

Incursion dans un domaine trop réservé : la monnaie - Part 7

 

1655860-sac-avec-de-l-39-argent-monnaie-euro-isol.jpg

V)
Les monnaies parallèles

Par définition, tout moyen de paiement est une monnaie. Mais la monnaie nationale d'un pays étant la seule que tout ressortissant est tenu par la loi d'accepter en paiement, toute autre monnaie utilisée est une monnaie parallèle (44), quels que soient la raison pour laquelle elle a été créée, les modalités de sa création et de distribution, son unité de compte, l'extension de son usage et quelles que soient ses méthodes de contrôle.

Les bons d'achat et autres monnaies “affectées”

La plus répandue des monnaies parallèles, et de très loin, est constituée par les bons d'achat.

Ces monnaies affectées à un usage précis, et restreint, peuvent être créées sous forme de bons destinés par un gouvernement à une catégorie de population. Ce mode de distribution sélective introduit donc une discrimination entre les membres de la société et fait apparaître qu'elle est “à plusieurs vitesses”.

Ces bons peuvent être remis aux pauvres, c'est le cas des "Food stamps" aux États-Unis. Cette distribution, destinée à leur apporter un secours alimentaire, impose donc aux pauvres une démarche humiliante : ils doivent faire une demande d'aide et la justifier en faisant état de leur trop modestes revenus (ou d'absence de revenus) ; elle peut même être pernicieuse, par exemple Milton Friedman eut l'idée de distribuer des bons d'enseignement grâce auxquels l'État assure aux enfants des familles pauvres l'accès aux écoles les moins chères, donc un enseignement au rabais, et la sélection se fait sur les droits d'inscription, seules les familles riches pouvant payer les meilleures écoles. De tels bons permettent de privatiser l'école tout en proclamant que tous les enfants y ont accès.

Au contraire, des bons d'achat peuvent être distribués, en cas de pénurie, à des privilégiés pour leur réserver l'accès à certains produits devenus rares. Par exemple, des bons d'essence ont été émis en Italie, à l'intention des étrangers, à un prix plus bas que le prix à la pompe, quand celui-ci était particulièrement élevé. Il s'agissait d'attirer des touristes aisés.

Des sociétés spécialisées peuvent fabriquer et vendre un autre type de monnaies affectées, c'est le cas par exemple des tickets-restaurant. Ces sociétés en font l'avance aux employeurs qui versent une partie des salaires sous cette forme. Les employés qui les reçoivent ne peuvent donc pas dépenser leur salaire en se privant de nourriture. L'avantage pour les employeurs est double : d'une part, ils bénéficient de réductions fiscales et sociales quand ils les utilisent, et d'autre part, leurs employés ne peuvent pas se plaindre que leur salaire ne leur suffit pas pour se nourrir. Ces bons sont utilisés par 5 millions de salariés en France.

Internet permet maintenant l'utilisation de systèmes de points qui sont, de fait, des monnaies propres à certains sites dont les revenus proviennent d'une part des ressources publicitaires et d'autre part de la vente d'informations concernant les clients.

Mais les plus répandus des bons d'achat sont ceux que distribuent les commerçants à des clients qu'ils veulent attirer ou “fidéliser”. Pour “capter” le client (ou le duper ?), leur science du marketing leur fait inventer toutes formes de bons d'achat : chéques-cadeaux, tirages au sort, cartes de fidélité, avantages promis après plusieurs achats, etc. Presque toutes les enseignes de la grande distribution proposent des cartes de fidélité gratuites et tous les achats (ou seulement certains achats) donnent droit à des points qui s'ajoutent sur ces cartes et ouvrent ultérieurement un droit soit à des réductions, soit à des cadeaux, selon des barèmes qui varient avec la chaîne commerciale. Dans tous les cas il s'agit d'orienter la clientèle vers certains produits ou de la fidéliser à certaines marques ; il s'agit toujours de la pousser à l'achat, par exemple si les points acquis cessent d'être validés après un délai, fixé évidemment par la chaîne. Mais il peut arriver que le cadeau promis ne soit pas “disponible”…

Comme exemple de bons d'achat, examinons brièvement le cas des “miles” aériens, si répandus depuis peu qu'ils sont qualifiés de nouvelle monnaie mondiale (45). Créés en 1981 par la compagnie American Airlines, ces points sont portés sur des cartes personnelles de fidélité, offertes par des compagnies aériennes à leurs clients, et leur permettent d'obtenir des billets gratuits, proportionnellement aux distances parcourues sur leurs lignes. Par exemple, un vol Paris New-York en classe économique rapporte 7.280 miles (la distance parcourue exprimée en miles nautiques) et pour gagner ce même vol il faut avoir acquis sur sa carte 50.000 miles. Les compagnies aériennes ayant complètement intégré cet usage dans leur politique commerciale, elles vendent ces “miles” à leurs partenaires au sol (chaînes d'hôtel, loueurs de voitures, opérateurs téléphoniques, etc.) qui en distribuent, eux aussi, à leurs clients ; ceci permet d'évaluer le prix du stock actuel à quelque 765 milliards de dollars, soit plus que le montant total des pièces et des billets d'euros actuellement en circulation ! Autrement dit, ces miles constituent la deuxième monnaie mondiale en usage, après le dollar ! On a calculé que si cette création de monnaie parallèle continue à croître au même rythme, soit 20% par an depuis 1995, il dépassera le stock de billets verts (dollars américains) d'ici deux ans. (en 2003...)

 

chemtrailjet.jpg

Epandage pour faire pleuvoir

Notons une particularité de cette monnaie mondiale : elle ne circule pas. Quand elle a servi une fois, elle est annulée.

Elle est tellement passée dans les moeurs aux États-Unis que des associations de consommateurs réclament le versement d'intérêt sur leurs miles, que le fisc songe à imposer ce complément de salaire dont bénéficient les salariés qui voyagent pour leurs entreprises (et qui sont souvent les mieux payés) et que dans certains procès en divorce les époux se partagent le compte de miles familial. Il y a même maintenant un marché noir de miles. Mais comme toute monnaie dont l'émission n'est pas confrontée avec une valeur physique, elle constitue une sorte de bombe à retardement : les compagnies ont beau faire des provisions sur les miles qu'elles émettent, pour anticiper ce que ces miles leur coûteront en billets gratuits, on a beau prévoir que la majorité des titulaires de bons n'en ont pas accumulé assez pour avoir droit à des billets gratuits, il n'empêche que le stock mondial de miles détenus sous cette forme par les quelque 89 millions de clients des compagnies aériennes était évalué par The Economist à 8.500 milliards en 2001. On peut calculer qu'il faudrait 23 ans pour vider toutes les cartes… et à condition de cesser d'en émettre !

L'usage des bons d'achat commerciaux, sous une forme ou sous une autre fausse le marché au moins de trois façons :

D'abord cette pratique neutralise la concurrence. Par exemple, un programme de miles aériens peut conférer à une compagnie une position dominante.

Ensuite cet usage brouille l'information sur les prix finalement payés : quel est le prix d'une minute de téléphone avec un portable qui fonctionne avec une carte qui vous fait tel et tel tarif dans certaines conditions et tel tarif tant telles autres ? Quel est le prix du litre d'essence quand tout achat de plus de 10 litres donne droit à un bon et que tant de bons donnent droit à un nettoyage gratuit et rien si le nombre de bons est insuffisant ? Et quel est le prix d'un vol payé par une société à tel de ses salariés qui va profiter de sa carte pour se payer un surclassement en classe affaires ? Plus grave : qui bénéficie des billets gratuits acquis grâce aux miles gagnés sur des billets professionnels payés par l'employeur ? Une telle question va encore plus loin quand l'employeur est l'État et le voyageur un député : deux députés allemands ont été poussés à la démission pour avoir utilisé ces miles gratuits pour des déplacements en famille.

Enfin l'usage de ces bons a un impact immatériel, voire moral : la clientèle devient une part du capital (immatériel) des entreprises et ces dernières calculent la valeur actuelle nette (VAN) d'un client par les profits qu'elles anticipent des achats qu'il fera s'il est ainsi fidélisé, par exemple, il est connu en “mercatique” qu'«augmenter de 5% le taux de fidélisation d'un client augmente sa VAN de 35 à 95 %»…

Les monnaies locales

Quand l'économie d'un pays est défaillante, la monnaie, que les économistes présentent comme un moyen d'échange, est perçue par ses habitants comme un frein à l'échange. Ce qui les conduit à chercher comment "s'en tirer” et ils réagissent au plan local, faute de pouvoir le faire à plus grande échelle. Dans pratiquement tous les cas, leur première initiative consiste à se passer de monnaie officielle (qui leur fait défaut) en inventant une monnaie privée, une monnaie parallèle qui leur est propre, qui n'est émise et contrôlée que par eux-mêmes, et qui n'a pas d'autre objectif que de leur permettre de vivre mieux, voire de survivre.

C’est donc en périodes de difficultés économiques que naissent des expériences de monnaies locales.

Un premier exemple est celui de la grande crise qui débuta par la chute de la Bourse de New York en 1929 et se prolongea par la Grande dépression jusqu'à la Seconde guerre mondiale.

Elle fut qualifiée de crise de surproduction ce qui, pour les économistes, ne signifie pas que tout le monde était pourvu de l’essentiel, mais que de grandes quantités de produits ne trouvaient pas d'acheteurs solvables, parce que les millions de chômeurs et leurs familles, qui en avaient grand besoin, n’avaient pas d’argent. C’était la première manifestation de ce que Jacques Duboin dénonça comme “la misère dans l'abondance” (46).

 

duboin.png

 Jacques Duboin

 

La seconde a suivi la grande transformation néolibérale qui installa la dictature des marchés financiers sur l'économie.

L'après “grande crise”

Pour accélérer la consommation, Silvio Gesell imagina une monnaie fondante, c'est-à-dire des billets dont le pouvoir d'achat, s'il n'était pas dépensé au bout d'un certain temps, était systématiquement dévalué au rythme de 0,5% par mois, soit 6% l'an. Des expériences ont été entreprises, dont la première à Wörgel, un village montagnard d'Autriche, et la seconde en France, à Lignères-en-Berry, après la guerre. Toutes les deux se sont traduites par une remarquable relance de l'économie par la consommation et toutes deux ont reçu l'ordre de stopper sous prétexte que cette monnaie fondante était illégale.

Il n'est pas étonnant que la recrudescence du chômage dans les pays industrialisés ait suscité la réapparition de mouvements revendiquant une telle monnaie fondante pour relancer l'économie. Un système fonctionnant avec une telle monnaie a été expérimenté, par exemple, à Saint Quentin en Yvelines à partir du 1er janvier 1997.

*

Pour les fondateurs, en octobre 1934, du cercle économique WIR (Wirtshaft Ring Gesellschaft), cette même Grande Dépression était due à un manque d'approvisionnement en monnaie légale et il fallait éviter aux petites et moyennes entreprises d'en subir les conséquences. Il s'agit donc d’un système d'échange de marchandises entre entreprises, organisé dans un but lucratif par une sorte de chambre de compensation qui prélève une taxe sur chaque échange et se fait aussi payer ses services comme des informations, des facilités de crédit et même des activités de lobbying auprès des gouvernements afin de défendre les intérêts des entreprises adhérentes.
La monnaie de ce cercle de soutien mutuel ne peut être échangée qu'entre les entreprises qui en sont membres.

L'après “Trente Glorieuses”

Frappé par le nombre de personnes qui ne peuvent pas participer à la vie économique et sociale parce qu’ils manquent d’argent, Michael Linton crée avec quelques amis, en 1982, le premier système d’échanges locaux, en anglais Local Exchange Trading Systems (LETS) à Vancouver (Canada). Il sera imité d'abord en Australie, puis en Nouvelle-Zélande et au Royaume-Uni, etc. Il y a d'autant plus d'échanges dans un LETS qu'il a beaucoup d'adhérents, de sorte que l'enjeu est d'y attirer du monde.

 

denierempire.jpg

 Un denier sous l'Empire

 

En France, les SEL (système d'échanges local) se sont peu à peu éloignés du système des LETS, depuis la création du premier, qui eut lieu en Ariège en 1994. Ce sont des associations de personnes qui comptabilisent, à l'aide d'une unité de compte qui leur est propre, les transactions qu'elles font entre elles, transactions qui portent aussi bien sur des travaux ménagers, des réparations, des gardes d'enfants, la confection de plats cuisinés ou des cours de langue.

Offres et demandes sont recensées dans un catalogue auquel tous les membres d’un SEL ont accès. Il n'y a pas de billets en circulation, la comptabilité se fait dans une monnaie imaginaire, chaque SEL a la sienne, dont la valeur unitaire, parfois liée à la monnaie nationale mais le plus souvent au temps passé, fait l'objet d'un accord mutuel. Si Aurélie souhaite repeindre sa cuisine alors que Pierre offre de faire des travaux de peinture, elle lui confie le travail et ils conviennent entre eux qu'il y consacrera, par exemple, 10 heures. Si leur monnaie a pour unité de compte la minute, quand la cuisine sera repeinte, le SEL devra retrancher 600 unités du compte d’Aurélie et augmenter d’autant celui de Pierre. Il appartiendra alors à Aurélie de fournir un travail à un membre du SEL, pas forcément Pierre, et celui-ci aura droit à une aide de 10 heures de la part d’un membre du SEL. L'heure est comptabilisée sans tenir compte du niveau social ou professionnel de la personne qui rend le service. Rien ne garantit que le travail sera bien fait. Aucun recours n’est possible. Les membres sont invités à limiter leur endettement, mais un compte déficitaire n’est pas pénalisé d’un intérêt. Les comptes démarrent en général à zéro et les membres doivent limiter leur endettement à l'équivalent de -3.000 minutes, par exemple. Dans d'autres SEL, on offre d'emblée 5 heures au départ (300 unités) aux membres afin de leur éviter de démarrer sur un endettement.

Malgré l'existence de programmes informatiques adaptés, la comptabilisation des unités d'échange dans les SEL leur pose un problème vital car cette comptabilité s'avère très lourde et leurs responsables sont contraints à un travail répétitif. Or les travaux échangés dans un SEL sont par principe occasionnels, sinon il s'agirait de travail “au noir”. Le débat est de choisir entre convertir cette tâche en travail salarié, donc déclaré, ou inventer des systèmes moins lourds à gérer. Dans certains SEL, une grande partie des échanges n'est pas comptabilisée, et le système se dissout alors dans la bande de copains, mais perd aussi sa capacité d'accueillir régulièrement de nouveaux adhérents “en nombre", à la différence des SEL qui “comptent” dans les SEL leur pose un problème vital car cette comptabilité s'avère très lourde et leurs responsables sont contraints à un travail répétitif. Or les travaux échangés dans un SEL sont par principe occasionnels, sinon il s'agirait de travail “au noir”. Le débat est de choisir entre convertir cette tâche en travail salarié, donc déclaré, ou inventer des systèmes moins lourds à gérer. Dans certains SEL, une grande partie des échanges n'est pas comptabilisée, et le système se dissout alors dans la bande de copains, mais perd aussi sa capacité d'accueillir régulièrement de nouveaux adhérents “en nombre", à la différence des SEL qui “comptent”.

En 2003, en France, on estime à 350 le nombre de SEL et à 30.000 le nombre total de leurs membres, lesquels y trouveraient, non pas les moyens de vivre, mais le plus souvent un appoint, la possibilité d'acquérir un service auquel ils n’auraient pas accès sinon, et dont ils s’acquittent à la bonne franquette.

Le système des jardins d'échange universel (JEU) fonctionne à partir de carnets sur lesquels les membres notent leurs transactions, en binômes autonomes, ces carnets ne sont montrés qu'à la personne avec qui se fait l'échange, il n'y a aucun contrôle.

L'Ithaca-hour ou time-dollar est une monnaie locale née du refus des 30.000 habitants de la ville d'Ithaca (état de New-York) de se voir soumis aux effets de décisions prises de loin par de grands groupes ne se souciant guère de la survie des petites localités. Son but est donc de réorganiser localement l'économie marchande, de créer des emplois locaux et de faire circuler localement les revenus de sa population. Dans 30 villes des États-Unis, des communautés se sont formées pour bénéficier de ces time-dollars, monnaie non imposable qui permet d'avoir une aide d'une heure contre une heure passée à aider quelqu'un. Celui qui reçoit un service signe un certificat à celui qui le lui rend, l'ensemble de ces certificats est géré par une banque du temps (time bank) qui centralise les offres et les demandes de temps.

Sur le même principe, un groupe de femmes italiennes a créé à Bologne, en 1991, la première banque de temps italienne. Celle-ci comptabilise, en crédit ou en débit, les heures de femmes qui entendent valoriser leurs activités au quotidien, elle organise leurs emplois du temps en fonction des offres, des demandes et de leurs compétences. Ces banques du temps ont des liens très forts avec les administrations locales, qui sont même souvent à leur origine et qui leur fournissent au besoin finances et locaux.

Plus étendus sont les systèmes de troc en Amérique du Sud. En Argentine, dont les richesses naturelles sont immenses, les habitants se sont retrouvés, presque du jour au lendemain, sans pouvoir d'achat parce que leurs avoirs en monnaie nationale, sur leurs comptes en banque, leur ont été confisqués. Un très grand nombre d'entre eux ne survivent que grâce à ces systèmes de troc de biens, qu'ils avaient heureusement organisé avant la faillite. En 1995, à Bernal, une banlieue de Buenos Aires, des voisins échangent les surplus de leur potagers. Ils redécouvrent le troc. D’abord local, le système devient régional, puis national. En trois ans des milliers d’Argentins, victimes de la crise, et qui ne bénéficient ni d’assurance-chômage, ni d’allocations familiales, ni d’un équivalent du RMI, adhèrent à des clubs de troc où s’échangent des produits ou des services.

À la fois producteurs et consommateurs, les adhérents reçoivent de leur club un certain nombre de “creditos” (47), sorte de monnaie locale qui leur permet d’échanger les productions et services du club. Les échanges effectués en 1999 sont estimés à plus de 500 millions de dollars au total. Aujourd’hui, ces clubs s’appellent “noeuds” parce qu’ils se sont rassemblés en réseaux (Red de Trueque) étendus à toute l’Argentine et même à des pays voisins (Uruguay, Brésil, Nicaragua, Pérou, …). Ce ne sont pas des structures fermées : les gens peuvent passer d’un noeud à un autre. Ils sont de tailles diverses, de quelques dizaines d’adhérents à plus de mille. Au début, ils étaient issus de la classe moyenne, qui s'est muée en une classe de nouveaux pauvres. Avec l’extension de la crise, et pour en amortir sur eux les effets, ce serait plus de 6 millions d’Argentins qui, en 2002, auraient participé aux activités d’environ 8.000 noeuds.

Deux grands réseaux coexistent : le Réseau de troc solidaire (RTS) qui regroupe dix-sept provinces et le Réseau global de troc (RGT) qui compte le plus grand nombre d’adhérents.
Les pouvoirs publics ont dû tenir compte de l’importance de ces réseaux, si bien qu’en 2000 le troc a été déclaré d’intérêt national par le gouvernement. Qui plus est, de nombreuses municipalités acceptent maintenant que leurs administrés paient leurs impôts en créditos. Dans certaines villes des commerçants ou des fournisseurs de services classiques acceptent aussi des règlements en créditos. Leur principe est le suivant : au départ, un club émet un certain volume de monnaie “alternative” et la répartit équitablement entre ses membres, qui s'en servent pour faire des échanges entre eux. Si ces échanges se multiplient au point que les membres estiment qu'ils ont besoin de plus de monnaie, ils votent une augmentation, par exemple de 10 unités par membre.

Un contrôle attentif de cette inflation s'est avéré nécessaire, afin d'éviter que l'unité monétaire se trouve dévaluée. Les pouvoirs publics, en particulier ceux de la ville de Buenos Aires, ont accepté d'appuyer ce système à condition que sa monnaie ne soit pas convertible en monnaie officielle.
Mais on s'est aperçu que les participants avaient du mal à ne pas confondre la monnaie des “nodos” avec la monnaie traditionnelle et il faut insister sur la non-pertinence de la valeur numéraire dans le système d'échange, qui, en fait, correspond surtout à la valeur du travail. Enfin, pour éviter les inconvénients des contrefaçons, il est recommandé que les grands échanges interclubs se fassent en produits plutôt qu'à l'aide de monnaies différentes. On s'interroge sur l'intérêt de systèmes mixtes alliant paiement alternatif et paiement traditionnel.

La multiplication des monnaies locales ne va pas sans inconvénient : elle facilite la falsification massive des billets (48) par des réseaux mafieux, et émettre inconsidérément des créditos conduit à une inflation galopante comme celle que connaît l’économie classique.

 

monnaie-dollars-euros-argent-cochon.jpg

 

C’est ce qui se passe dans le RGT. Heloisa Primavera (49), qui travaille avec les réseaux depuis 1996, dénonce surtout une «falsification de principe» car l’inflation que connaît le RGT «est le résultat de la sur-émission de créditos dans ce réseau qui provoque une sur-liquidité sur le marché». Elle reproche au RGT de «détruire la dynamique économique et sociale du troc en inondant le pays de ses billets afin de créer un réseau national centralisé, à la monnaie incontournable. Le résultat est fâcheux : la monnaie est déconnectée de l’économie réelle. Comme un certain peso… La juste correspondance entre niveau de production et volume de créditos en circulation est rompue, le crédito perd alors de sa valeur et surtout la confiance des usagers»(50). C’est pourquoi elle mène campagne auprès des maires pour qu’ils n’acceptent pas n’importe quelle monnaie locale. Pour elle, l’urgence est de consolider le potentiel alternatif du troc «qui doit devenir le terrain d’une économie de l’abondance où le jeu n’est plus gagne/perd, comme dans le capitalisme, mais gagne/gagne, grâce à un partage efficace des richesses». «Le troc est pour la première fois, un chemin pour sortir les pauvres de l’exclusion sans faire la guerre, sans prendre les armes […] C’est un phénomène d’avant-garde et pas de régression». «Nous sommes à un point de sortie du paradigme de la rareté pour entrer dans celui de l’abondance. Il n’y a pas de rareté. Elle est artificielle»(51).

*

Bien d'autres monnaies locales ont été inventées, elles sont trop nombreuses pour être toutes citées, depuis le tabac et les cartes à jouer remplaçant la monnaie légale chez les colonisateurs aux Etats-Unis, jusqu'à celles qui foisonnent actuellement dans le monde entier. Par exemple «Au Brésil, la municipalité de Braga a décidé de payer ses employés en imprimant ses propres bank-notes. Baptisés “Bonus”, les billets peuvent servir à payer les impôts locaux et ils sont acceptés dans les magasins de la ville»(52). Ou bien «En Russie, dans la région de Novossibirsk, une entreprise imprime sa propre monnaie. Plus de 800.000 billets d’une valeur faciale d’un rouble ont été édités, puis distribués aux employés Cette émission a permis de payer trois mois de salaire en retard… Seuls trois magasins et une station-service, appartenant d’ailleurs à l’entreprise en question, pourront échanger des denrées contre ces billets, qui sont également acceptés par les autorités locales en paiement des impôts locaux, les municipalités payant alors leurs fonctionnaires avec ces billets»(53). Et aussi en Italie (Rete di economia locale), en Allemagne (Tauschring), au Japon, en Thaïlande (Thailand Community currency systems), en Nouvelle Guinée, en Indonésie etc.

*

Ces réseaux d'échanges recréent du lien social, et s'opposent ainsi, de fait, au système économique actuel qui exalte et développe l'individualisme du “chacun pour soi”, voire même le gratifie. Les gouvernements néolibéraux pourraient donc être tentés de voir dans leur développement le moyen de se débarrasser sur eux du problème de la survie des exclus de la compétition. Mais ils les guettent plutôt avec le piège du “travail au noir”, puisque les services échangés entre eux par les membres d'un réseau d'échanges ne donnent pas lieu à paiement d'impôts, et surtout parce que les professionnels de services marchands se plaignent qu'ils leur font concurrence et les considèrent comme des manques à gagner.

Un autre prétexte invoqué pour les condamner consiste à dire que les monnaies qu'ils créent sont illégales. Ce qui est rigoureusement vrai, mais alors pourquoi toutes les monnaies privées, toutes les autres monnaies parallèles, dont les plus nombreuses sont celles qu'émettent les chaînes commerciales, ne sont-elles pas interdites depuis longtemps en vertu de ce même argument ? Il paraît étonnant qu'aucun juriste n'ait été capable de dénoncer le déni de justice qui consiste à dire qu'une monnaie illégale est tolérable quand elle est à but exclusivement lucratif mais devient intolérable quand son seul objectif est de créer de la solidarité.

 

monnaie d'argent de la tribu des Eduens 

monnaie-d-argent-de-la-tribu-des-eduens.jpg

Passer du local au global

Tous ces recours à des monnaies locales sont nés quasi spontanément, dans l’urgence :

un grave problème économique et social se révèle, alors des expériences sont lancées pour tenter de le surmonter localement, de façon immédiate et pragmatique. Mais même si leur conception n'a rien d’universel, s’agissant toujours d’accords ponctuels pour quelques heures d’un travail qui reste limité au domaine de l’artisanat, et même si la relance qu'ils permettent reste autocentrée, ces réseaux sont très efficaces sur le plan social : en rompant l’anonymat véhiculé par la monnaie capitaliste, ils créent des relations entre leurs membres alors que le marché, au contraire, développe l'égoïsme du “chacun pour soi”. Donc, quelle que soit la façon dont elle va évoluer, il est important que l'économie de demain adopte leur slogan : “le lien vaut mieux que le bien” et qu'elle s'organise pour encourager et développer au plan local ces “échanges de bons procédés”, qu'ils soient comptabilisés ou qu'ils ne le soient pas.

Mais l'économie de la société humaine ne se limite pas au niveau local. Non seulement il y a des services (transports, eau, énergie, soins médicaux lourds, recherche fondamentale, information, culture, entretien du patrimoine, etc., sans oublier la justice, car la vie en société nécessite un code qu'il faut pouvoir faire respecter sans que ceci tourne au règlement de compte…) qui doivent rester organisés à une échelle publique bien plus large, au minimum régionale. Voire nationale, comme la prise en charge d'une population qui vieillit. À l’échelle internationale, les SEL ne peuvent pas, par exemple, empêcher le commerce de la drogue, ni limiter le développement de la violence qu’engendre la misère créée par le système capitaliste. Et même en restant à petite échelle, on produit souvent bien mieux qu'individuellement quand on accepte de travailler en équipes pour que l'ensemble profite des compétences de tous, librement associés pour organiser intelligemment leur coopération. Toute une infrastructure est donc nécessaire, qui relève d'une organisation à plus large échelle, prenant en charge d'autres besoins que ceux qui se règlent par des échanges individuels, même multilatéraux.

Il est une autre raison, encore plus importante, qui fait qu'il y a urgence à avoir le courage d’innover, comme l'ont fait les SEL au plan local, mais en pensant et en agissant globalement pour toute la société. C'est que l'humanité se trouve plongée dans une véritable mutation ; héritiers de savoir-faire et de connaissances accumulées pendant des millénaires, nous savons aujourd'hui tout produire, et même le pire. Or c'est souvent le pire que produit l'économie actuelle, mise par les marchés au service d'une minorité qui se sent libre d'accaparer toutes les ressources. Et en outre elle produit n'importe comment. Il est donc urgent de réfléchir à une autre transformation de la monnaie qui orienterait les économies modernes de façon à assurer à l'humanité un avenir plus digne et plus sûr. Tel est bien le sens des conclusions qu’Héloïsa Primavera tire de sa propre expérience en Argentine quand elle met l’accent sur le fait que le capitalisme correspond à une économie de rareté mais se révèle incapable de partager les richesses alors que nous entrons dans une ère d’abondance.

C'est dans cette aspiration véritablement humaniste, car porteuse d'un projet pour l'ensemble de la société, que se situent les deux types de propositions suivants.

Le dividende social

Au début des années 1930, les propositions du Major écossais C.H.Douglas avaient une portée sociale nationale, sinon universelle. Mettant l'arbitraire de la création monétaire par les banques à l'origine du manque de pouvoir d'achat des populations pauvres, d'ailleurs condamnées au chômage par le machinisme, il fit remarquer que la véritable richesse d'un pays n'est pas celle qu'indique son système financier mais bien ses possibilités réelles de produire : ses terres, ses mines, ses routes et son savoir-faire. Ce patrimoine étant commun à tous les citoyens d'un pays, il estimait légitime que chacun d'eux en touche régulièrement le dividende, sous la forme d'une somme versée annuellement par un organisme national de crédit émettant pour cela une nouvelle monnaie. Encore appliqué en Alaska ce principe a valu à tous les habitants de cet État américain, homme, femme ou enfant, de recevoir en 2002 un dividende de 1.540 dollars gagé sur le pétrole du sous-sol.

Le projet SOL

Le projet d'une monnaie solidaire, le SOL, est conçu pour favoriser une société solidaire ayant l'humain et non plus le profit pour objectif.

Concrètement, un citoyen recevrait des SOL soit en achetant certains biens et services de l'économie sociale et solidaire (ESS : mutuelles, coopératives par exemple), soit en ayant un comportement civique en s'impliquant dans la vie sociale (alphabétisation par des bénévoles, par exemple). Ces SOL permettraient d'acheter des biens et services de l'ESS (commerce équitable, assurances ou même placements financiers), d'accéder à des biens collectifs (équipements sportifs d'une commune, par exemple) et culturels ou encore de soutenir des initiatives locales ou de grandes causes communautaires.

Cette initiative entre dans le cadre des nombreuses expérimentations actuelles dans la recherche d'une économie sociale et solidaire, analysées par Pantaleo Rizzo (54). Elle est la démonstration flagrante de la nécessité d'échapper aux impératifs du capitalisme qui domine aujourd'hui le monde, mais elle se heurte à ses propres limites s'il s'agit de s'accommoder de ce système et non pas de chercher comment le remplacer.

 

argent.gif

(44) Jérôme Blanc, Les monnaies parallèles, unité et diversité du fait monétaire.

(45) Voir Le Monde du 20 août 2002, page 11.

(46) sous-titre de son livre “Kou, l'ahuri”, qui fut publié la première fois en 1934 et, 62 ans plus tard, tant la misère dans l'abondance qu'il décrivait était, hélas, encore d'actualité, il fut mis en scène au théâtre par Christine Delmotte en Belgique puis à Paris. Jacques Duboin, grand humaniste, a été amené lors de la grande crise de 1929, à expliquer la nature du changement de civilisation qui s’amorçait alors, et à conclure à la nécessité d’une économie de répartition qu’il définit ensuite sous le nom d’Économie Distributive.

(47) En fait, il existe plusieurs versions du crédito correspondant aux régions d’origine, mais ils circulent sans problème dans tout le pays.

(48) Certains creditos portent maintenant des filigranes et des numéros de série.

(49) Professeur d’administration publique à l’Université de Buenos Aires.

(50) dans Témoignage Chrétien, N° 3030, 3/10/2002.

(51) Heloisa Primavera, Rencontre internationale “Reconsidérons la richesse”, Paris, 1-2 /3/2002.

(52) Marianne, semaine 25-31/1/1999.

(53) Le Midi Libre, du 13/3/1999.

(54) P. Rizzo, L'économie sociale et solidaire face aux expérimentations monétaires. http://www.docstoc.com/docs/91268733/Pantaleo-RIZZO

Sources : http://www.france.attac.org/ et multiples références

Yves Herbo/MPSA/2014

Mes publications

Pourquoi ce Site

Etant maintenant artisan dans l'écriture à 100%, et pouvant enfin me consacrer entièrement à mes passions et hoobies, je m'occupe un peu plus de ma vie mais je continue à faire vivre ce blog gratuit mais qui, avec son hébergement, CSS et sécurité, est loué et de plus en plus cher... : merci à l'avance pour votre aide en achats de livres (autres à venir en ebooks probablement), dons et mots d'encouragement.

Vous pouvez également vous procurer l'une de mes dernières nouvelles, La Pierre dans la Montagne publiée dans le Studio Babel 1 en 2011, Sentiments Profonds publiée dans le Studio Babel 2 début 2012, ou encore sur ce blog :
 
 
studioBabel1.jpg babel2a.jpg

Vous pouvez lire gratuitement ces recueils (et n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez !) en allant ici :

Studio Babel N°2https://www.calameo.com/books/000788413db1c7a4bbb39

et (si vous l'avez apprécié et voulez aider le groupe (et non l'auteur qui ne reçoit rien !)), vous pouvez le commander en versions imprimées ou téléchargeables ici :

Studio Babel N°1 : https://www.lulu.com/browse/search.php?&fKeywords=Babel+Studio+Fiction

Un aperçu des 10 premières pages y est aussi proposé. Voilà les auteurs pour le N° 1 : Jacques Païonni, Laurent Salipante, Siléas, Sylvain Boïdo, Yves Herbo, Adam Joffrain, Terry Montcalm, Philippe Giroud et illustrateurs : Tony Szabo, Jépéh, Leslie Lavaud.

Un aperçu des 10 premières pages y est aussi proposé. Voilà les auteurs pour le N° 2Claude JégoAdam Joffrain, Yves HerboJacques PaïonniBlanche Saint-Roch, Mehdi Saddra, Anne Springer, Jacqk, Lyvins Frédéric et illustrateurs :Tony SzaboLydie Blaizot.

Et j'en profite pour répéter que mon roman de SF "Je n'étais qu'un Androïde" avait été réédité mi-juillet 2011, après une grossière erreur d'impression de leur part, bien après le BAT, par les Editions Baudelaire... contrat rompu en 2014 pour mauvaise prestation...
 

Quatre éternités pour une Rose immortelle publié !

4eternites1 mini

Et bien ça y est, le livre vient d'être publié et est dispo sur le site de l'éditeur Edilivre ! Comme il me l'a précisé dans un email (mais il est sorti alors que j'étais en déplacement !), il est déjà en vente sur son site, et est dispo en librairie sur commande, et la Bibliothèque Nationale de France a reçu son exemplaire légal. " il a été mis en vente sur les principaux libraires en ligne à savoir Fnac.com, Chapitre.com, Amazon... De plus, tous les libraires de France, Suisse et Belgique peuvent également le commander à travers Dilicom ou directement auprès d'Edilivre "...

Couv 4eternitesfinale

Cet ouvrage est important pour moi car il a été écrit lors de mon enfance (mais remanié (corrigé surtout) et "modernisé" en partie ces derniers mois pour cette publication) et surtout, à la suite d'événements étranges survenus dans ma tendre enfance, allant de perceptions paranormales (ou religieuses suivant l'interprétation) jusqu'à l'observation très nette et très proche d'une grande sphère lumineuse venant presque à ma verticale, à moins de 15 mètres. Cet ouvrage parle donc de "soucoupes volantes" mais attention, il s'agit à 100% de science-fiction ou d'anticipation, comme l'autre roman écrit à cette période (Je n'étais qu'un Androïde), même si plusieurs passages, termes et idées paraissent "visionnaires" ou "très en avance" pour l'époque (et l'âge de l'auteur), un peu comme s'ils m'avaient été "transmis" mystérieusement... Le fait est bien que je me suis mis à écrire beaucoup d'un seul coup et sans y être spécialement préparé ou attiré précédemment. A tel point que ma prof de français et mon père m'ont fait passer un test de QI dès le début du collège (130 à 13 ans) ! Je ne demande à personne de me croire sur parole, peu importe d'ailleurs, mais les manuscrits d'époque sont encore là, ainsi que mon père (plus maintenant malheureusement), qui peut témoigner de certaines choses  - et il doit y avoir un dossier quelque part à l'Education Nationale !

On me pose aussi de temps en temps des questions sur mon autobiographie (dont vous pouvez lire les premiers chapitres sur mon site ici) et tous les événements surprenant qui s'y enchaînent dès le début, mais tout ce que je peux dire, c'est que tout est absolument vrai et que j'aurai plutôt intérêt à ne rien dire (pour ma paix familiale et citoyenne !), mais que j'estime que c'est un devoir de l'écrire et témoigner...

Vous pouvez lire les 20 premières pages sur le site de l'éditeur et le dos de couverture. Je remercie encore Cyril Cheminade pour son beau dessin de couverture qu'il m'avait proposé généreusement il y a maintenant plus d'un an, ainsi que les personnes qui ont donné un peu d'argent pour qu'il soit intégré par l'éditeur sur cette couverture. Je demande donc à tous mes lecteurs et ceux qui me suivent depuis quelques années maintenant d'acheter ce livre (sur papier ou en ebook) afin de m'aider à continuer à écrire, et à acheter moi-même ce livre (car l'éditeur n'en propose même pas un gratuit pour l'auteur) car je n'ai absolument aucun revenu de mon activité (bien que beaucoup reconnaissent que j'accomplis un travail considérable, c'est du "bénévolat" de fait car notre société, contrairement aux mayas ou incas par exemple, qui ne connaissaient pas le chomage ni la famine, ni l'argent, ne reconnaît pas le travail et l'activité réelle si ils ne sont pas associés à de l'argent (!)... une preuve supplémentaire que l'être humain n'est pas "libre" mais bien esclave de son outil "argent"... et d'une minorité très riche).

Vous pouvez Commander directement chez l'éditeur la version papier et la version ebook et le recevoir très vite :

https://www.edilivre.com/quatre-eternites-pour-une-rose-immortelle-20cfbba6dc.html/

ou sur Amazon : https://www.amazon.fr/Quatre-%C3%A9ternit%C3%A9s-pour-Rose-immortelle/dp/2332857664

Merci pour votre soutien, amicalement, Yves Herbo

PS : Je rappelle que ce livre a été écrit il y a longtemps alors que j'étais enfant et que sa genèse est très étrange : vers mes 7-8 ans, je subi en public une sorte de connexion étrange (une religieuse a pensé que c'était le début d'une sorte "d'ascension" !) lors d'une lecture d'un texte religieux, au catéchisme où j'avais été inscrit d'office. Quelques mois plus tard, une forte voix à l'intérieur de moi me crie de ne pas faire un mauvais acte. Encore quelques mois plus tard, je suis survolé d'assez près par une grosse sphère blanche, que certains me disent être un OVNI, d'autres un ange... finalement je me mets (à partir de 10 ans environ) à écrire deux romans subitement et à en même temps quasiment (un assemblage et tris de textes pendant 4 ans). Cela surprend tellement ma prof de français et mon père qu'ils me font passer un test de QI à mon entrée au collège (130 QI à 13 ans) et veulent me faire sauter une classe... et ce n'est pas tout... Ce roman, Quatre éternités pour une Rose immortelle est le tout premier de ces deux romans chronologiquement, et j'y décris comment notre univers a été créé. J'y parle aussi d'ovni et c'est un assez bon roman d'anticipation je pense... mais comment de telles idées (et celles pour l'autre "Je n'étais qu'un Androïde) ont bien pu me venir à cet âge et époque... alors que je ne lisais que des bd de Rahan et Pif le chien et ne pensais qu'à jouer ?... c'est là pour moi le plus grand des mystères, bien plus que tous ceux auxquels je me suis intéressé (archéologie ancienne) et vous partage depuis quelques années... Notez aussi qu'il n'est pas très important pour ma part d'être cru, je ne revendique pas être "porteur de message", juste partager mon expérience qui me semble importante pour l'Humanité... mais qu'il est tout aussi anormal de travailler... et de mourir de faim car cette société ne prévoit rien pour l'être humain (moins bien traité que l'animal à ce niveau) qui est actif et partage son travail, tout en refusant d'être esclave des banquiers et de l'argent...


 

Jenetaisqu unandroide1 mini

09-2016 : Réédition en tant qu'éditeur et auteur de mon livre " Je n'étais qu'un Androïde ", disponible dès maintenant chez LULU.com et chez Amazon, Barnes & Noble, il a été listé auprès du grossiste américain Ingram, qui approvisionne les librairies américaines. Il figure dans de prestigieuses bases de données bibliographiques telles que Nielsen et Bowker.

Vous pouvez l'acheter dès maintenant ici (papier et ebook) : sur Amazon : Je n'étais qu'un androide


 

Sortie début 2017 de la version Epub (pour lectrices donc) de mon livre "Quatre eternités pour une Rose immortelle" chez Edilivre mais aussi chez plusieurs partenaires, dont Amazon, Decitre, Dialogues, FNAC, Mollat, Ombres-Blanches, Sauramps... et Je n'étais qu'un androide chez LULU.com, Amazon et autres libraires.

Voici les liens directs pour acheter les 2 livres en plusieurs versions chez Amazon : 

https://www.amazon.fr/n%C3%A9tais-quun-andro%C3%AFde-Yves-Herbo-ebook/dp/B00KERHJMG/ref=asap_bc?ie=UTF8

https://www.amazon.fr/Quatre-%C3%A9ternit%C3%A9s-pour-Rose-immortelle/dp/2332857664

 

Autres publications (free) en cours :

Faites un don à l'auteur ! - derniers sites ajoutés à l'annuaire

Faites un don pour conserver un site semi-pro et remercier l'auteur de sa contribution à cette société peu évoluée et ses articles et écrits gratuits pendant que d'autres préfèrent ne rien faire du tout, faire semblant de travailler ou casser au contraire tout...

  • UFOmotion Documentaires OVNI videos UFO doc streaming

    UFOmotion Documentaires OVNI videos UFO doc streaming

    Ufomotion Regroupe les documentaires ufologiques francophones et anglophones. Déjà plus de 500 documentaires à voir !
  • Paris Hiking, Nature,  Walk, Sport, Guided visit, Discover

    Paris Hiking, Nature, Walk, Sport, Guided visit, Discover

    Welcome to the site. We are going to visit and to discover unusual places. Free or in various price list Looking forward to enjoying outdoor activities with you very soon … The organizers : Christophe
  • Planete Sciences Infos

    Planete Sciences Infos

    Sciences, Technologies nouvelles, Inventions, Avancées scientifiques ? Vous trouverez tout cela dans les articles de notre site !
  • Le testament du duc d'Enghien. (Albert Fagioli)

    Le testament du duc d'Enghien. (Albert Fagioli)

    Le testament du duc d'Enghien. (Albert Fagioli)
  • parlons ovni - site d'information français sur le phénomène ovni

    parlons ovni - site d'information français sur le phénomène ovni

    Recenser et documenter des éléments incontestables liés au phénomène ovni. Ce site ne juge pas ou de bâtit de grandes théories fumeuse car son objectif est simplement d'aider à démontrer que des éléments inexplicables existent.
  • librairie odyssee

    librairie odyssee

    librairie odyssee, la librairie des parasciences, vous accueille sur son site 24h/24. vente de livres en ligne, livres neufs, livres en français et en anglais, archéologie interdite, archéologie mystérieuse,phytothérapie, dictionnaires, esotérisme, alchi
  • O.D.H Tv - YouTube

    Ovni/Oani.Dans.l'.Histoire Tv vous présente les dernières actualités ovni et oani en France. Nous vous présentons ici les rencontres astronomiques et ufologi...
  • O.D.H Tv - Actualité Ovni/Oani France | .

    Ovni/Oani.Dans.l'.Histoire Tv vous présente les dernières actualités ovni et oani en France) et dans le Monde. Nous vous présentons donc les Observations,...
  • Blog de Odhinn-Hermodr -

    Blog de Odhinn-Hermodr -

    Traduction finalisee de l'ecriture de Glozel.
  • Ovni et vie extraterrestre les mystères des ovnis

    Ovni et vie extraterrestre les mystères des ovnis

    Ovni: Un site d'ufologie consacré à l'étude sérieuse des Ovnis et de leur histoire (informations riches sur le phénomène ovni et la vie extraterrestre en général)
  • Les moutons enragés - Les moutons en ont marre, ils s'informent!

    Les moutons enragés - Les moutons en ont marre, ils s'informent!

    Les moutons enragés - Les moutons en ont marre, ils s'informent!
  • vijoenza

    vijoenza

    création d'images
  •  Médiathèque et Index Ufologique et Spatial

    Médiathèque et Index Ufologique et Spatial

    Médiathèque et Index Ufologique et Spatial
  •  Japon Passion de sylv1

    Japon Passion de sylv1

    ce site proposera divers sujets représentant le pays du soleil levant, la culture ,les traditions nippones, le mode de vie, les mangas, l’actualité quelquefois. J’ai pratiqué les arts martiaux à un niveau très moyen ce qui m’ a permis d’approfondir a
  • Rusty James News

    Rusty James News

    Rusty James News
  • Herbo Yves

    Herbo Yves

    Un blog-miroir de celui-ci mais sous une autre forme et hébergeur.
  • Sciences-Faits-Histoires

    Blog de l'écrivain Yves Herbo axé sur la recherche de la vérité historique et développements sur ces thèmes avec des preuves mais sans limite imaginaire car, comme l'a très bien dit Albert Einstein, l'imagination est plus importante que la connaissance po
  • AgendaCulturel.fr : agenda culturel des concerts, du théâtre, de la danse

    AgendaCulturel.fr : agenda culturel des concerts, du théâtre, de la danse

    Agenda Culturel réunit toutes les dates de concerts, festivals, théâtre, expositions, cinéma, danse, temps forts, rencontres, art de la rue sur 100 portails départementaux dédiés aux manifestations culturelles.
  • Faire un site avec E-monsite.com

    Faire un site avec E-monsite.com

    Créer un site gratuitement sans aucune connaissance en design et en programmation est désormais possibile en utilisant le site e-monsite.com.
  • Dudelire : Humour et Jeux

    Dudelire : Humour et Jeux

    Portail d'Humour & de Jeux & de Quizz. Annuaire de Jeux Online,Humour Sexy,Annuaire de fonds d'écran, 350 vidéos,3500 blagues,des centaines d'images, 350 jeux,des dessins animés,films et séries.
  • Sports.fr

    Sports.fr

    Toute l'actualité sportive en direct est sur Sports.fr ! Ligue 1, championnats européens, rugby, basket, tennis, Hand ball, Volley, Tour de France, transferts ...
  • Guadeloupe

    Guadeloupe

    Guide et bons plan en Guadeloupe

référencements free + Recherches sur le site + Twitter

Recherche Personnalisée

 

 Referencement gratuit dans annuaire special Arts & Cultures

s'abonner aux publications de Yves Herbo sur Facebook

Livre d'Or - Album photos

  • Syyn Le 02/05/2023

    Merci pour les articles très intéressant, j'ai entendu parlé de vous sur le site https://spacia.fr qui ...

  • Hermann Marc Le 29/04/2020

    Bonjour YvesH je voulait juste me présenter, je suit un ami de Thierry Jamin et Stephan Pawlak, j'ai ...

  • yvesh Le 13/04/2020

    Merci à vous, dites-moi ce que vous en pensez à l'occasion. Portez-vous bien.

  • Véronique Le 06/01/2020

    Bonjour, suite à votre passage sur NuréaTV où je vous ai découvert, je viens de commencer "Quatres éternités ...

  • mornon jules Le 20/11/2019

    Bonjour, Voici un podcast qui risque fort de vous intéresser :) https://www.franceculture.fr/e ...

Tous les messages

Lien vers profil Twitter - Tags

The originals s1 Test DVD vidéo

 

 

Date de dernière mise à jour : 05/05/2024